Un symposium d’une journée organisé à Fredericton, au Nouveau-Brunswick, a réuni des membres et des dirigeantes et dirigeants d’Unifor ainsi que des organisations qui fournissent des services et du soutien de première ligne aux personnes de toute la province qui sont victimes de violence entre partenaires intimes, qui fuient cette violence ou qui s’en remettent.
Le 10 avril 2025 est la Journée pour l’équité salariale au Canada, qui symbolise la durée de l’année pendant laquelle la femme moyenne doit travailler pour gagner ce que l’homme a gagné l’année précédente.
Cela représente plus de trois mois de travail supplémentaire pour le même salaire. Et, pour bon nombre de femmes, notamment les femmes autochtones, les femmes noires, les femmes racisées, les immigrantes, les femmes handicapées et celles qui appartiennent à la communauté 2ELGBTQ+, ce fossé se creuse encore davantage.
Unifor s’associe à plus d’une centaine de groupes pour demander au premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, d’assurer l’avenir des services de garde d’enfants abordables dans la province.
Dans sa lettre de mandat à la ministre des Finances de la Colombie-Britannique, Brenda Bailey, le premier ministre David Eby reconnaît que la violence fondée sur le genre est une épidémie et donne à Mme Bailey le mandat de prendre des mesures pour s’attaquer à cette crise.
Tracey Ramsey, directrice du Service de la condition féminine d’Unifor, a été élue présidente du comité de la condition féminine d’UNI Americas lors de la 7e Conférence régionale des femmes d’UNI Americas qui a rassemblé à La Falda, en Argentine, plus de 180 dirigeantes syndicales venues de plus de 17 pays.