Le 25 novembre, alors que le premier ministre de l’Ontario Doug Ford refusait de reconnaître l’épidémie de violence entre partenaires intimes devant un refuge pour femmes, 150 femmes d’Unifor se sont réunies à Windsor, en Ontario, pour lancer la campagne du syndicat exigeant que cette déclaration soit promulguée.
Le 25 novembre marque le début de 16 jours de militantisme contre la violence fondée sur le genre, qui se termineront le 6 décembre, la Journée internationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes. En tant que syndicat, nous nous sommes engagés à mettre fin à cette violence sexiste depuis le massacre qui a coûté la vie à 14 femmes à l’École Polytechnique de Montréal simplement parce qu’elles étaient des femmes.
MONCTON – Unifor se réjouit : quelques jours après avoir formé son gouvernement, la première ministre Holt a annulé les politiques qui limitaient, au Nouveau-Brunswick, l’avortement chirurgical au milieu hospitalier.
ST. JOHN’S - Jennifer Murray, directrice de la région de l’Atlantique d’Unifor, Doretta Strickland, membre du comité sur la condition féminine du Conseil régional de l’Atlantique, et Adele Jackman, trésorière du Conseil régional de l’Atlantique, ont rencontré Pam Parsons, ministre responsable des Femmes et Égalité des genres, et Bernard Davis, ministre de la Justice et de la Sécurité publique, pour souligner l’importance de déclarer que la violence entre partenaires intimes (VPI) est épidémique à Terre-Neuve-et-Labrador.
La Conférence sur la condition féminine 2024 sur le thème « Les femmes se lèvent » a permis de rassembler des femmes de partout au pays au Centre familial d’éducation afin de discuter de la force politique des femmes, d’appuyer nos confrères et consœurs trans et non binaires, de soutenir la réconciliation avec les peuples autochtones et de discuter de plusieurs autres enjeux importants.
Les comités permanents de la condition féminine et du PAEF du Conseil régional de l’Ontario se sont unis pour organiser un événement national d’envergure.
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