Les travailleuses et travailleurs du secteur canadien du transport aérien ont été pris par surprise par la guerre commerciale illégale et non provoquée déclenchée par le président américain, Donald Trump, et ses commentaires incendiaires qui menacent la souveraineté du Canada.
De la possibilité d’une récession jusqu’à la réorganisation des déplacements en provenance des États-Unis, les actions prises par le gouvernement actuel des États-Unis pourraient avoir de graves répercussions sur notre secteur et l’économie mondiale.
Unifor est fier d’accueillir 245 travailleuses et travailleurs à temps partiel de Nuance Group (Canada) Inc. à l’aéroport international Pearson de Toronto.
« Nous sommes ravis que les membres de Nuance se joignent à Unifor, a déclaré Lana Payne, présidente nationale d’Unifor. Nous avons hâte de négocier votre première convention collective et d’améliorer les conditions de travail des travailleuses et travailleurs des aéroports, notamment en nous opposant au transfert de contrats et en veillant à ce que vous soyez traités avec le respect que vous méritez. »
Unifor désire faire part de son soutien à l’équipage et aux passagers du vol 4819 de Delta. Nous sommes fiers de la réaction rapide des membres d’Unifor à l’incident d’hier à l’Aéroport international de Toronto. Les membres du district 333 de la section locale 2002 d’Unifor se sont rendus sur place presque immédiatement, assurant le transport en autobus des passagers vers le terminal et travaillant en coulisses pour les aider une fois en sécurité au terminal.
Brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Air Canada : en autobus ou en avion, les emplois restent avec Unifor », plus de 50 membres d’Unifor ainsi que des syndicats et des organisations du secteur de l’aviation se sont rassemblés à l’aéroport international Pearson le 5 juin pour protéger le champ d’application de leur travail après l’attribution par Air Canada d’un contrat à une société d’autobus pour faire la navette entre les différents aéroports.
Unifor a conclu une entente de principe pour une convention collective de trois ans avec Nassituq Corporation régissant les membres de la section locale 2002 d’Unifor travaillant à la station des Forces canadiennes Alert située dans la région de Qikiqtaaluk, au Nunavut.
Ce contrat de travail comprend des augmentations pour les salaires, les avantages sociaux, les primes et les allocations, en plus des vacances rémunérées après cinq années de service, plutôt qu’après 10 ans comme c’était le cas auparavant.
Les quelque 281 membres de l’Association des spécialistes de la circulation aérienne du Canada (ASCAC) de la section locale 1016 d’Unifor se préparent à un vote de grève la semaine prochaine après que NAV Canada ne soit pas parvenu à une entente avec le syndicat sur la rémunération et les concessions.
Unifor accueille 69 nouveaux membres travaillant aux services aéroportuaires Concorde à l’aéroport international de Calgary, qui ont voté à près de 85 % en faveur de l’adhésion au syndicat.
« Nous sommes ravis que ces travailleuses et travailleurs de l’aviation aient exercé leur droit de se syndiquer et aient choisi Unifor, a déclaré Lana Payne, présidente nationale d’Unifor.
La démocratie en milieu de travail commence par le droit de regard sur les conditions de travail. »
TORONTO—L’Association des spécialistes de la circulation aérienne du Canada (ASCAC) de la section locale 1016 d’Unifor a déposé la semaine dernière un avis de différend en vue d’entamer une conciliation après être arrivée à une impasse avec NAV Canada dans le cadre des négociations qui ont débuté en mai de l’année dernière.
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