De toute évidence, ces élections fédérales historiques se sont démarquées par l’immense appel des Canadiennes et Canadiens à l’égard d’un changement au gouvernement et dans la direction donnée au pays. Les Libéraux ont reçu le mandat de provoquer un changement progressiste.
Or, provoquer un vrai changement durable n’est jamais facile; cela ne commence ni ne se termine à la boîte de scrutin.
Le gouverneur de la Banque du Canada, Stephen Poloz, n’a pas vraiment qualifié la situation de « récession ». Mais, son rapport sur la politique monétaire mercredi dernier en a clairement parlé en utilisant des chiffres plutôt que des mots.
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