La population canadienne se trouve devant une menace sans précédent pour sa souveraineté culturelle et politique. La récente menace du président américain Donald Trump d’imposer des tarifs douaniers de 100 % sur les films étrangers n’est que la plus récente provocation, et son administration a également soulevé des préoccupations concernant la taxe sur les services numériques et certaines nouvelles obligations découlant de la Loi sur la diffusion continue en ligne et de la Loi sur les nouvelles en ligne.
Le président américain Donald Trump s’en prend à l’industrie cinématographique canadienne dans sa plus récente attaque contre les emplois canadiens, ordonnant au département du Commerce des États-Unis et au représentant américain du Commerce d’entamer le processus visant à imposer des tarifs douaniers de 100 % sur les films produits à l’extérieur des États-Unis.
La Journée mondiale de la liberté de la presse rappelle aux gouvernements leur engagement en faveur de la liberté de la presse et permet de rendre hommage aux journalistes et aux travailleuses et travailleurs des médias qui ont perdu la vie dans l’exercice de leurs fonctions.
Dans le cadre d'un webinaire de la Fédération internationale des journalistes (FIJ) qui a eu lieu cette semaine, Unifor a expliqué comment les attaques du président américain Donald Trump sur la liberté de presse aux États-Unis ont eu des effets similaires dans le secteur canadien des médias.
TORONTO—Unifor s’est réjouit d’apprendre que la contribution annuelle de 100 millions de dollars de Google aux entreprises de presse canadiennes sera distribuée, après que le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) eut annoncé lundi qu’il accordait à Google une exemption de cinq ans à la Loi sur les nouvelles en ligne.
La Journée internationale du droit à l’information, qui a lieu le 28 septembre, est une initiative mondiale qui met en lumière le rôle que jouent les journalistes dans la diffusion de nouvelles et d’informations fiables.
Cette année, elle attirera également l'attention sur les turbulences et les menaces qui pèsent sur l’industrie et qui portent atteinte aux citoyens et à la démocratie dans le monde entier.
ST. JOHN’S – Unifor est extrêmement navré d’apprendre qu’aujourd’hui est le dernier jour de travail pour de nombreux membres de la section locale 441-G au journal The Telegram et à son imprimerie de la rue Austin, qui viennent de recevoir leurs avis officiels de licenciement.
ST. JOHN’S-Unifor continue de défendre ses membres et leur travail au Telegram de St. John’s alors que Postmedia procède au rachat de la plupart des actifs de la société mère du Telegram, SaltWire Network, Inc.