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Colin James, président de la section locale 222 d’Unifor, est un militant et un mentor. Colin est né à Birmingham, en Angleterre, et a immigré au Canada à l’âge de 13 ans. Ses parents ont travaillé fort pour leur famille et lui ont appris l’importance d’aider les autres et de les encourager sans les laisser vous dévaloriser. Les arts martiaux, qui le passionnent depuis son adolescence, lui ont appris la discipline, la détermination et le respect.
En 1980, il a commencé à travailler pour General Motors et décidé d’être actif dans sa communauté ainsi qu’au sein de son syndicat. Colin a été élu délégué syndical suppléant en 1992, puis élu à ce poste à temps plein en 1995. Il a rempli quatre mandats jusqu’en 2007 lorsqu’il a été élu membre du comité de négociation de district ainsi que syndic au comité exécutif de la section locale.
Il a occupé ces postes jusqu’en 2016 : il s’est alors porté candidat à la présidence de la section locale et a été élu. Il est le premier travailleur de couleur à devenir président de la section locale 222 en 2016 et a récemment accepté un autre mandat au même poste. Il demeure actif au sein de sa communauté et trouve toujours du temps pour aider les autres.
Fière militante syndicale, Doreen Bassaragh participe activement aux activités de la section locale 6008 d’Unifor. Elle a participé à plusieurs mesures de grève, lignes de piquetage et manifestations. Elle a aussi fait pression sur le gouvernement concernant certains enjeux comme la lutte pour un salaire minimum de 15 $ l’heure, l’instauration d’un régime national d’assurance-médicaments, les services de garde d’enfants et le changement climatique. Elle est membre du comité sur la condition féminine et présidente du comité des travailleuses et travailleurs autochtones et de couleur de sa section locale. Elle a été élue comme intervenante auprès des femmes et déléguée syndicale. Elle croit au mentorat et à l’éducation des jeunes en matière de syndicalisme et continuera de lutter contre la cupidité des entreprises lors de futures actions syndicales.
Angela Downey est une fière militante et membre de la section locale 4606 d’Unifor. Angela habite à Lucasville, en Nouvelle-Écosse. Elle est l’une des trois femmes ayant fait entrer le syndicat dans son milieu de travail. Elle appuie entièrement son syndicat : elle estime qu’il a fait beaucoup pour elle et l’ensemble des membres depuis qu’ils se sont syndiqués. Angela participe activement à bon nombre de comités de sa section locale, y compris, sans toutefois s’y limiter, le comité sur la condition féminine, le comité de l’éducation, le comité des droits de la personne, et le comité des travailleuses et travailleurs autochtones et de couleur. Elle décrit en ses propres termes l’importance de son syndicat : « Grâce à l’éducation et à la force de ma famille syndicale, j’ai pu trouver ma voix ainsi que faire partie de mon association communautaire et aider ma collectivité. »
Angela a dû faire face à une certaine opposition, et elle estimait que sa communauté de Lucasville, en Nouvelle-Écosse, était en train de décliner. Mais grâce à son grand cœur et aux connaissances qu’elle a acquises au sein du syndicat, elle a lutté aux côtés de sa communauté pour rétablir les frontières et fait de Lucasville un site patrimonial.
En tant que travailleuse du secteur des soins de santé, elle a contribué à l’éducation de la communauté en organisant une foire sur la santé ouverte à tous les membres de la communauté. Les séances incluaient des renseignements sur la santé des hommes, l’hypertension artérielle et la maladie d’Alzheimer. Elle est fière de faire partie d’Unifor et de savoir qu’elle peut faire appel à n’importe lequel de ses membres pour que des choses exceptionnelles se produisent.
Dana Anne James est une fervente défenseure membre de la section locale 6006 d’Unifor. Elle défend toujours les intérêts d’autrui et s’engage à fond dans son syndicat. Elle est déléguée syndicale en chef et présidente du comité des droits de la personne de la section locale 6006. Elle est active au sein de sa communauté en tant que bénévole pour de nombreux groupes de défense d’intérêts. Dana est conseillère en matière de travail et membre du conseil d’administration de l’organisme Social Planning Toronto.
Tshweu Moleme est né sous le régime de l’apartheid en Afrique du Sud, d’où provient en grande partie l’origine de son militantisme. Il est représentant syndical pour la section locale 1090 (travailleuses et travailleurs autochtones et de couleur, Casino Rama). En plus de ses activités syndicales, ses actions militantes ont également touché divers secteurs, comme la décolonisation, l’éducation contre le racisme et les approches afrocentristes. On peut le voir sur le terrain en tant qu’ardent défenseur d’un monde meilleur et plus juste pour tous et toutes.
Il pratique le bénévolat en qualité de chercheur et de membre du conseil d’administration pour les organisations suivantes : Nouveau Collège (Jeunes, militantisme et communauté), Couchiching Institute on Public Affairs de l’Université de Toronto, Comité du patrimoine municipal, et Information Orillia de la Ville d’Orillia. Il est également étudiant, chercheur et bénévole à l’Université de Toronto (Direction des affaires spécialisées – Sciences politiques, et maîtrise en éducation), chercheur dans le cadre de la spécialisation en apprentissage au travail et changement social, ainsi que vice-président à l’enseignement au département de leadership, d’éducation supérieure et d’éducation aux adultes à l’Institut d’études pédagogiques de l’Ontario.
Lorsqu’il n’est pas en train de travailler, de représenter des membres ou de faire du bénévolat, il se consacre à sa femme Sarah et à ses deux fils, Mookodi et Thuto.
Hortense Fletcher est adjointe à la production chez Cambridge Coatings. En compagnie de son équipe, elle supervise les activités quotidiennes de la ligne de revêtement par dépôt électrolytique. Elle est également active au sein du syndicat à titre de représentante. Avant d’occuper ce rôle, elle a été éducatrice de la petite enfance aux Bahamas. Dans ses temps libres, elle aime lire et passer du temps avec sa famille.
Dwayne Gunness est membre de la section locale 40 d’Unifor. Dwayne est membre d’Unifor depuis l’époque des anciens TCA. Il est présentement vice-président de la section locale 40 d’Unifor. Il dessert les unités des secteurs de la vente au détail, des écoles de langues et des organisations sans but lucratif. Au sein de sa section locale, Dwayne est responsable de l’assurance-emploi et siège au comité de l’assurance-emploi et du Régime de pensions du Canada d’Unifor. Il agit également comme syndic au Conseil du commerce de détail d’Unifor.
Beaucoup de gens ignorent que c’est grâce à Dwayne qu’Unifor participe au défilé du Festival Caribana. Célébrer la diversité et être membre actif des comités et du caucus de Toronto des travailleuses et travailleurs autochtones et de couleur ont toujours fait partie de ses objectifs.
Melrose Cornwall est un fier militant et membre de la section locale 112 d’Unifor. Melrose est né à Antigua, dans les Antilles, et a immigré au Canada en novembre 1979 en tant que soudeur agréé. Il travaille pour l’entreprise Toromont (anciennement connue sous le nom de « Crothers ») depuis 1987. Il est très impliqué au syndicat. Il a été élu délégué syndical en 1996, puis comme membre du comité de négociation en 1999, au sein duquel il a rempli deux mandats. Melrose a été acclamé président du comité d’usine en 2005 et a occupé ce poste jusqu’à sa démission en 2017. Il a également été élu comme représentant des métiers spécialisés pour son unité en 2009 et est depuis délégué au Conseil national des métiers spécialisés.
Il siège à de nombreux comités de la section locale 112, notamment des droits de la personne, de la toxicomanie, des pique-niques, et des travailleuses et travailleurs autochtones et de couleur. Il a occupé un poste de délégué au CTC, à la FTO et au Conseil régional d’Unifor.
Il est fier d’être délégué pour le Conseil national des métiers spécialisés et d’avoir réussi tous ses tests de soudage depuis 1982, notamment celui pour les récipients sous pression de l’ASME et ceux du Bureau canadien de soudage.
Il applique sa devise préférée, « Les jours ne sont peut-être pas tous bons, mais il y a du bon dans chaque jour », comme vision quotidienne au travail et dans sa communauté.
Margaret Olal est une fière militante et membre de la section locale 3000 d’Unifor. Notre consœur Margaret Olal a joué un rôle déterminant dans la syndicalisation de son milieu de travail il y a 22 ans. Son engagement à l’égard de sa section locale et du syndicat national n’a jamais faibli. Qu’il s’agisse de représenter les membres de son milieu de travail lors des rondes de négociation ou de devenir déléguée syndicale en chef, Margaret est depuis toujours déterminée à bâtir Unifor.
Margaret offre son temps bénévolement pour aider la section locale et le syndicat national chaque fois qu’on le lui demande. Elle a contribué aux élections provinciales et fédérales et offert du soutien aux bénévoles novices du processus de campagne. Elle est également membre du comité permanent des travailleuses et travailleurs autochtones et de couleur ainsi que du Comité consultatif sur l’équité. Peu importe ce qu’elle fait, elle n’est jamais trop occupée pour aider les membres, que ce soit à son travail, sur la ligne de piquetage ou dans un autre milieu de travail que le sien.
Chika Agbassi est une fière militante et membre de la section locale 555 d’Unifor. Chika se passionne particulièrement pour le développement communautaire par le leadership. À l’été 2018, elle a vu l’annonce de la conférence des travailleuses et travailleurs autochtones et de couleur dans le bulletin d’information de sa section locale et a alors décidé d’y participer. À peine six mois plus tard, Chika a participé au programme des congés-éducation payés de deux semaines pour les travailleuses et travailleurs autochtones et de couleur et mis sur pied ensuite avec succès le comité des travailleuses et travailleurs autochtones et de couleur de la section locale 5555. Elle a récemment été élue comme syndic au comité exécutif ainsi qu’au comité en milieu de travail de son unité, mandat qu’elle a commencé le 1er janvier 2019.
Chika espère voir encore plus de travailleuses et travailleurs autochtones et de couleur occuper des postes de leadership au sein du syndicat et dans l’ensemble de sa communauté, car elle croit fermement au dicton qui dit que toute chaîne est aussi forte que le plus faible de ses maillons.
