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Du 7 au 9 juillet, les sections locales du secteur des communications d’Unifor dans le Canada atlantique (401, 410, 506 et 2289) se sont réunies pour la 10e réunion biennale du conseil des sections locales. Les négociations avec Bell Canada devant débuter en septembre, la réunion portait sur des questions comme la sécurité d’emploi, les salaires et les avantages sociaux.
Jennifer Murray, directrice de la région de l’Atlantique d’Unifor, a salué le conseil et remercié les représentantes et représentants des sections locales pour leur travail acharné dans la représentation des membres et le renforcement du conseil. « Ce conseil est fort, déclare-t-elle. Et il l’est de plus en plus. Nous pouvons tous et toutes être fiers de la collaboration entre les sections locales, de notre solidarité et de notre engagement commun envers nos membres. Nous avons fait beaucoup de chemin et sommes dans une meilleure position grâce au travail que vous avez accompli ensemble. Et cette force sera plus importante que jamais à l’approche des négociations cet automne. »
Les membres des sections locales du secteur des communications d’Unifor dans le Canada atlantique subissent depuis plusieurs années les compressions budgétaires de Bell, les obligeant à en faire davantage en disposant de ressources moindres, étant témoin du départ de leurs collègues et se demandant s’ils seront les prochains. Les sections locales ont discuté de la nécessité de garantir des salaires qui suivent le coût de la vie, de mobiliser les membres dans l’avenir de l’entreprise pour qu’ils ne soient pas simplement une dépense à réduire, et de mettre en place des mesures de protection pour les générations de travailleuses et travailleurs à venir.
« Lorsque nous restons unis, que nous unissons nos voix, nous sommes forts, a ajouté Jennifer Murray. Et c’est exactement ce que fait ce conseil. Imaginons un avenir où nos membres ne font pas que survivre, mais où ils prospèrent, où les salaires reflètent leur valeur, où les avantages sociaux soutiennent leur famille, et où personne n’est laissé pour compte en raison de son lieu de résidence ou de travail. »
