Des dirigeantes et dirigeants d’Unifor visitent le chantier naval d’Halifax en pleine expansion

Main Image
Image
A group standing in a row wearing hardhats outside at Halifax Shipyard
Partager

« C’est un chantier naval différent de celui qu’Unifor connaissait »

Après un petit déjeuner matinal avec les dirigeantes et dirigeants de la section locale 1 de la Fédération des travailleuses et travailleurs de la marine, la présidente nationale Lana Payne, la directrice de la région de l’Atlantique Jennifer Murray et des représentantes et représentants d’Unifor se sont stationnés dans le statiodu chantier naval Irving Shipbuilding, situé sur la rive du port d’Halifax.

« La configuration des lieux a changé, même par rapport à il y a quatre ans, a déclaré Mme Payne. Et je me souviens de l’époque avant que le hall principal ne soit là. C’est un chantier naval différent de celui qu’Unifor connaissait. »
A group of Unifor Leadership and members from the Halifax Shipyard posing smiling with their fists raised.

Conduite par Shannon Samson, présidente de la section locale 1 de la Fédération des travailleuses et travailleurs de la marine, la visite a débuté à l’intérieur du NCSM Halifax, amarré pour des réparations programmées.

« Il y a beaucoup de travail à faire sur le Halifax pour qu’il reste opérationnel, a déclaré Mme Samson. Nous espérons que le rétablissement de l’industrie de la construction navale au Canada facilitera le maintien d’une flotte régulière de navires. Le fait de soutenir la Marine royale canadienne et la Garde côtière, ainsi que leur travail, donne tout son sens à notre travail. »

Le groupe a ensuite traversé l’immense hall principal, suffisamment long pour que la Tour CN y trouve place sur son côté, à l’intérieur de ses murs. On peut y voir le découpage, le déplacement et le soudage de l’acier par étapes progressives qui commencent lentement à ressembler à un navire. Près de l’extrémité du hall, trois modules du futur NCSM Frédérick Rolette, le cinquième navire de patrouille extracôtier et de l’Arctique (NPEA), attendent d’être assemblés et roulés à l’extérieur.

Image
A group of seven standing in front of a stern module wearing hardhats at the Halifax Shipard

« L’ampleur de ce projet et les compétences de ces travailleuses et travailleurs sont vraiment impressionnantes, a déclaré Jennifer Murray. Ces constructrices et constructeurs ont de quoi être fiers des magnifiques navires qu’ils construisent. »

De là, le groupe a parcouru les couloirs brillants du NCSM William Hall, qui est prêt pour les essais en mer de la semaine suivante.

« Cette expérience m’a coupé le souffle et je suis reconnaissante à Shannon et aux membres de la section locale 1 de la Fédération des travailleuses et travailleurs de la marine de nous avoir invités à venir voir leur travail, a déclaré Mme Murray. 

Unifor joue un rôle actif dans le soutien à la croissance du chantier naval de Halifax. Un partenariat bienvenu.

«  Je parle aux employeurs de tous les secteurs de la façon dont Unifor et Irving Shipbuilding ont collaboré pour atteindre de nouvelles communautés et rendre les bons emplois plus accessibles à un éventail plus diversifié de personnes et d’expériences vécues, a déclaré Mme Payne. En aidant les femmes à entrer dans les métiers grâce à Women Unlimited et aux cohortes suivantes du programme Pathways to Shipbuilding, nous avons été en mesure d’aider cette main-d’œuvre à refléter la diversité d’Halifax et des communautés environnantes.

Lana and Jenn at posing with a member wearing hardhats smiling.

Les effectifs de la section locale 1 de la Fédération des travailleuses et travailleurs de la marine ont quasiment doublé depuis la création d’Unifor en 2013, et des centaines d’autres personnes seront embauchées dans les années à venir.

« L’implication du syndicat a été cruciale pour cette croissance, en effet, la culture de la sécurité et de l’inclusion a fait partie intégrante de chaque étape et n’a jamais été une réflexion après coup, a déclaré Mme Payne. Aujourd’hui, la section locale a sa première femme présidente, la diversité et l’inclusion sont respectées et le syndicat est en dialogue constant avec la direction pour aborder les problèmes dès qu’ils se présentent.

Voilà ce à quoi ressemble le progrès. »