Des réunions des unités de Bell à travers le Québec jettent les bases d'une année de militantisme

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Depuis l’intensification récente du militantisme au sein des unités d’Unifor chez Bell Canada et des milieux de travail affiliés à Bell, des membres au Québec veulent faire participer leurs collègues à la planification d’une campagne.

Habitez-vous au Québec? Alors, la campagne « Bell, on cause » sera bientôt dans une section locale près de chez vous!

Des représentants nationaux d’Unifor et l'adjoint au directeur québécois, John Caluori, ont déjà rendu visite aux sections locales 93,98, 77-Q, 79 et 176 d’Unifor.

La participation aux réunions est bonne; ces espaces ouverts permettent aux membres de la base d’exprimer leurs préoccupations au sujet de leurs conditions de travail et des décisions d'affaires de Bell, et peuvent planifier ensemble une nouvelle année de campagne et de défense intensive des droits.

« Ces réunions ont prouvé la profonde détermination des membres du secteur des télécommunications à mettre en place et à défendre des conditions de travail décentes face à une entreprise qui met de plus en plus ses employés de côté pour maximiser ses profits », a déclaré Renaud Gagné, directeur québécois d'Unifor.

La campagne « Bell, on cause » a été lancée en 2019 afin d'unir tous les employés de Bell qui font face aux tentatives de l'entreprise d'éroder les bons emplois et d’écarter les employés actuels dans la transition aux nouvelles technologies.

Les effets de ces tactiques, jumelés au système de gestion du rendement profondément injuste, ont entraîné des problèmes de santé mentale généralisés chez les employés de Bell Canada.

Unifor représente les membres de toute la structure organisationnelle de Bell, de l'installation et des techniciens jusqu’aux ventes et au soutien.

« Les membres d'Unifor chez Bell sont confrontés à une tentative stratégique de réduire leurs conditions de travail et à un déni du stress intense qu’ils vivent au travail. Les intentions de Bell ne sont un secret pour personne, comme l'a affirmé George Cope, chef de la direction, et Mirko Bibic, le suivant en ligne, a déclaré Jerry Dias, président national d’Unifor. Ils sont peut-être d'accord sur ce plan, mais ça ne veut pas dire que les membres d'Unifor vont l’accepter. » 

Pour appuyer les travailleuses et travailleurs de Bell, abonnez-vous aux mises à jour sur Belloncause.ca ou signez la pétition pour demander à George Cope d'annuler l'impartition en gros du service Internet résidentiel sans fil.

Communiquez avec les membres recruteurs du Québec ou du Canada pour savoir comment votre section locale de télécommunications peut agir.

Québec: Stéphane Brin @email

Canada: Shawn Cowan @email