Les membres d’Unifor travaillant dans le secteur de la santé au Marshall Gowland Manor ratifient leur convention collective

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Les membres d'Unifor travaillant dans le secteur de la santé au Marshall Gowland Manor votent massivement en faveur de la ratification d'une convention collective de trois ans.
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Les membres de la section locale 302 d’Unifor employés au Marshall Gowland Manor à Sarnia, en Ontario, ont voté à une écrasante majorité de 97 % en faveur de la ratification de leur nouvelle convention collective.

« Depuis le début de nos efforts de négociation, notre priorité absolue a toujours été le bien-être de nos membres, a déclaré Rusty Sproul, trésorier de la section locale 302. Non seulement cette entente garantit le gagne-pain de ces 142 membres dévoués, mais elle jette également des assises très prometteuses pour les futures négociations ».

La toute nouvelle convention collective, d’une durée de trois ans, comprend des augmentations de salaire, des améliorations des avantages sociaux et des dispositions plus strictes en matière de sécurité d’emploi. Les membres de la section locale 302 d’Unifor qui travaillent au Manoir Marshall Gowland occupent un large éventail d’emplois, notamment ceux de préposées et préposés aux services de soutien à la personne, d’infirmières et infirmiers auxiliaires autorisés, de préposées et préposés à l’entretien ménager et à l’entretien, d’aides-diététiciennes et aides-diététiciens, de cuisinières et cuisiniers, de buandières et buandiers, ainsi que de coordonnatrices et coordonnateurs en matière d’amélioration de la qualité.

« Le processus de négociation n’a pas été sans difficulté, a indiqué Michelle Stewardson, présidente d’unité de la section locale 302. Cependant, grâce à une solidarité inébranlable, notre comité de négociation a réussi à surmonter ces difficultés et à conclure une entente qui reflète véritablement le travail acharné et le dévouement de nos membres. »

La négociation de cette entente a été marquée par des difficultés considérables pour le syndicat. Au départ, les deux parties s’étaient préparées à un arbitrage contraignant. Toutefois, le syndicat a organisé des actions communautaires pour faire pression sur l’employeur et l’inciter à revenir à la table des négociations. Ces actions ont amené l’employeur à ne pas recourir à l’arbitrage obligatoire et à revenir à la table des négociations, où une entente de principe a été conclue.  

La ratification de cette nouvelle convention collective met en évidence le pouvoir de l’unité dans le processus de négociation collective pour aboutir à un accord juste et équitable.