« Garder les Canadiennes et Canadiens connectés », la valeur des employés hautement qualifiés en période d'incertitude

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Histoire de l’unité de négociation des techniciens de Bell, numéro 5 de 8

Il ne fait aucun doute que l'année écoulée a été la plus importante de notre vie, et depuis le début de la pandémie, à travers de multiples confinements, des « zones rouges » et à chaque étape, les techniciens de l'unité de négociation ont dépassé les attentes dans la prestation des services que la compagnie fournit, afin que la vie des Canadiennes et Canadiens puisse se poursuivre le mieux possible.

« Les travailleuses et travailleurs des télécommunications de notre pays, et en particulier l'équipe de Bell, sont reconnus aux côtés des travailleuses et travailleurs de la santé et des services d'urgence pour leur travail essentiel pendant la crise de la COCID-19. »

  Qu'il s'agisse de l'apprentissage en ligne pour nos enfants, de la garantie d'une large bande passante pour les flux vidéo afin de travailler depuis la maison, ou de la garantie que la télévision diffuse ou diffuse en continu nos émissions préférées et les sports en direct pour nous donner un répit face à l'incertitude qui règne à l'extérieur de nos maisons, il ne fait aucun doute que les techniciens de Bell ont été exceptionnels.

Nos efforts ne sont pas reconnus par la compagnie. Alors que Bell se vante de maintenir les Canadiennes et Canadiens en contact en cette période de crise, elle tente en privé de démanteler notre unité de négociation.

Alors qu'elle réalise des profits pendant cette pandémie, Bell continue d’éroder notre unité de négociation, de sous-traiter les travaux sur les nouvelles technologies, de délocaliser de bons emplois canadiens, et n'offre que peu ou pas de reconnaissance réelle de notre rôle pendant la crise de santé publique.

La décision de sous-traiter la partie « Ventes directes » de l'entreprise à un entrepreneur tiers a laissé les techniciens hautement qualifiés qui ont effectué ce travail, et les entreprises qui comptaient sur eux, dans l'incertitude près d'un an plus tard. Cette décision est un nouvel exemple de la manière dont l'unité de négociation des techniciens continue de s’éroder, même si le travail rentable disponible est abondant.