La convention collective ratifiée par les membres d'Unifor chez Fiat Chrysler Automobiles la fin de semaine dernière est une étape essentielle pour l’avenir de l'industrie automobile canadienne.
Dans le cadre de cette convention collective, FCA s’engage à investir jusqu'à 1,5 milliard de dollars dans une nouvelle plateforme pour construire des véhicules hybrides et des véhicules électriques à batterie (VEB) à l’usine de Windsor, avec au moins un nouveau modèle d'ici 2025.
Scott Moe a tué quelqu'un. J'ai défendu les droits des travailleuses et travailleurs. J'ai passé plus de temps en prison.
Comme cela a été largement rapporté cette semaine, le premier ministre de la Saskatchewan a été libéré avec une amende après un accident mortel dans lequel une femme a été tuée en 1997.
De plus, son nom n'a pas été divulgué à l'époque et le fils de la femme, alors adolescent, n'a pas découvert avant 23 ans qui était responsable de la mort de sa mère.
Le mois dernier, il a été rapporté que le caucus libéral considérait l’établissement d’un revenu de base garanti comme la priorité politique absolue à débattre et à voter lors du prochain congrès national du parti en novembre. Ce qui n'est guère surprenant.
Par Jerry Dias, président national d’Unifor, publié dans le The Star, le 13 septembre 2020
L'administration Trump a annoncé fin juillet que des droits de douane de 10 % seraient à nouveau perçus sur les importations d'aluminium primaire en provenance du Canada, répondant ainsi aux demandes d'un petit groupe d'initiés de l'industrie qui s'appelle l'Association américaine d’aluminium primaire (APAA).
Se réunir en grands groupes, comme nous le ferions normalement lors de marches et de pique-niques dans le cadre de la célébration habituelle du pouvoir collectif des travailleuses et travailleurs, n'est tout simplement pas possible ni même une bonne idée pendant la pandémie de la COVID-19.
Ce qui rend cette fête du Travail si différente, c'est que les travailleuses et travailleurs de la Saskatchewan se dirigent rapidement vers une confrontation avec le gouvernement du Sask Party qui est en désaccord, voire ouvertement hostile, aux intérêts des travailleuses et travailleurs.
La crise de la COVID-19 a révélé plusieurs vérités profondes sur l'état de l'économie canadienne en 2020.
Par exemple, l'incompétence du secteur privé dans les établissements de soins de longue durée. Le manque de capacité de fabrication pour produire des biens essentiels lorsque nous en avons besoin. Les programmes de sécurité du revenu généralement insuffisants.
La liste pourrait être encore plus longue.
Mais la crise a dévoilé une faille profonde qui traverse le monde du travail au complet.
Le monde sort, lentement et prudemment, de près de six mois d'isolement forcé par la pandémie. Nous élargissons nos bulles – une phrase que peu d'entre nous auraient comprise il y a quelques mois seulement – et nous voyons des parents que nous n'avions pas osé visiter jusqu'à tout récemment.
L'ouverture de nos communautés dépend de la province dans laquelle nous vivons – voire du pays ou d’une région en particulier. Les déplacements entre les régions, et surtout au-delà des frontières internationales, restent limités.
Jerry Dias, président national d’Unifor & Renaud Gagné,Directeur Québécois d’Unifor
Contre toute apparence de bon sens, les États-Unis sont sur le point de déclencher une nouvelle guerre commerciale avec le Canada en imposant une nouvelle série de droits de douane sur l'aluminium canadien.
L'American Primary Aluminum Association (APAA) a récemment demandé au gouvernement fédéral américain de réimposer des droits de douane pour motif de sécurité nationale sur certains produits en aluminium, en prétendant qu'une « forte hausse » des importations canadiennes met en danger l'avenir de l'industrie américaine.
Si quelqu'un doit se sentir coupable, c'est bien Rick Hillier.
Coupable d'intolérance.
Coupable d’avoir dit n’importe quoi.
Coupable de s'être rendu complètement ridicule.
Et, cette semaine encore, coupable d'avoir, par désinvolture, et apparemment au nom de l'humour bon marché, mis en doute l'intégrité d'un ministre fédéral intègre par ses commentaires désinvoltes.