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« Cette organisation défend les droits des journalistes et travaille à promouvoir la liberté de presse dans le monde, et le journalisme canadien serait grandement menacé si elle devait disparaître en raison d’un manque d’appui », a déclaré Bob Orr, secrétaire-trésorier national.
Unifor fait un don de 10 000 $ à la campagne qualifiée d’urgente par les JCLE afin de recueillir 100 000 dollars d’ici la fin de janvier.
L’organisation non-gouvernementale affirme que sans plus d’appui, elle ne survivra pas cette année.
« Notre mince effectif travaille dans un bureau surchargé et des frais généraux nominaux qui dépassent les coûts de faire campagne, mais nous avons toujours un impact qui dépasse de loin notre taille visible », a déclaré Duncan Pike, codirecteur des JCLE.
« Un avenir sans les JCLE signifie que des journalistes vont mourir en attendant de l’aide pour fuir une situation dangereuse. Cela signifie que des journalistes au Canada seront envoyés en prison parce qu’ils refusent de divulguer leurs sources. Cela signifie aussi que la police espionnera sur des journalistes sans aucune impunité. »
Unifor, qui représente 12 000 journalistes et travailleur(euse)s des médias, a été un fervent défenseur des JCLE et de leur travail au nom des journalistes et de la liberté de presse.
« Les JCLE ont joué un rôle déterminant en faisant pression pour obtenir la première loi de protection de la presse au Canada, adoptée en octobre après qu’ils aient révélé que des journalistes au Québec se faisaient espionner par la police », a déclaré Howard Law, directeur du secteur des médias.
Les JCLE ont aussi fait partie de plusieurs organisations qui ont soutenu le journaliste de Vice News, Ben Makuch, lorsqu’il a été enjoint de divulguer une source confidentielle, et cherche à intervenir lorsque la Cour suprême du Canada entendra la cause.
Cliquez ici pour faire un don déductible d’impôt aux JCLE maintenant.
