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Chaque année, Unifor souligne le 6 décembre, la Journée nationale de commémoration et d'action contre la violence faite aux femmes, en lançant un appel à l'action pour rendre nos lieux de travail et nos collectivités plus sûrs.
« Notre syndicat s'efforce d'éliminer la violence faite aux femmes partout où nous en sommes témoins, a déclaré Jerry Dias, président national d'Unifor. Qu'il s'agisse d'accroître la sensibilisation aux problèmes, de plaider en faveur d'un congé payé pour cause de violence familiale ou d'appuyer les refuges pour femmes afin de protéger les survivantes, notre syndicat fait tout en son pouvoir pour mettre un terme à ce fléau qui frappe notre société. »
Cette année marque le 30e anniversaire de l'assassinat des 13 étudiantes en génie et d'une employée à l'École Polytechnique de Montréal en 1989. Cette journée est aussi l'occasion de réfléchir à toutes les femmes autochtones disparues et assassinées, aux femmes transgenres et à toutes les femmes dont la vie a été blessée ou tuée par la violence fondée sur le genre.
« La violence fondée sur le genre est un problème que nous devons tous attaquer de front et nous efforcer chaque jour d’y mettre fin, a déclaré Lisa Kelly, directrice du Service de la condition féminine d’Unifor. Notre syndicat a réussi sur plusieurs fronts. C'est notre travail de nous attaquer à la racine même de l'inégalité fondée sur le genre. On ne peut arrêter nos efforts tant que la violence existe. »
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