Un zap téléphonique pour une réforme de l’AE

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Date
mercredi, février 2
11:30am - 12:15pm EST
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Unifor members participating in a phone zap via Zoom.

Le mercredi 2 février, nous organiserons deux actions téléphoniques d’urgence avec l’organisation Justice for Workers (Justice pour les travailleuses et travailleurs), avec la participation de membres d’Unifor :

  1. 11 h 30 à 12 h 15 HNE (8 h 30 à 9 h 15 HNP et 12 h 30 à 13 h 15 HNA)
  2. De 18 h à 18 h 45 HNE (de 15 h à 15 h 45 HNP et de 19 h à 19 h 45 HNA)

RSVP auprès de Justice for Workers pour recevoir les détails de la séance Zoom.

OMICRON a créé une nouvelle crise sur les lignes de front. Un nombre sans précédent de travailleuses et de travailleurs, ainsi que de membres de leur famille, tombent malades; les restrictions de capacité entraînent des mises à pied et des pertes de quarts de travail; l’effet domino de la réduction de la demande en biens et services se traduit par des mises à pied et des suppressions d’emplois.
Or, la réponse du gouvernement fédéral s’est avérée scandaleusement inadéquate.

Personne ne peut survivre avec les 300 $ par semaine (270 $ après impôt) de la Prestation canadienne pour les travailleurs en cas de confinement (PCTCC); il faut donc exiger que toute personne dans le besoin reçoive un soutien du revenu hebdomadaire d’au moins 500 $.
Aidez-nous à sonner l’alarme pour réformer une fois pour toute notre système d’assurance-emploi.

RSVP dès maintenant!

Ce que signifie une réforme de l’assurance-emploi :

  • assurer un revenu hebdomadaire permanent d’au moins 500 $;
  • réduire les heures assurables requises à 12 semaines de travail ou 360 heures;
  • rendre toutes les prestations d’assurance-emploi accessibles pendant au moins un an;
  • éliminer les règles inéquitables qui pénalisent les travailleuses et les travailleurs qui quittent un travail où ils sont exploités;
  • garantir l’accès des travailleuses et travailleurs migrants; et
  • cesser de traiter les travailleuses et travailleurs à la demande comme des travailleuses et travailleurs autonomes et mettre fin à cette pratique de classification erronée afin que chacun puisse jouir de tous ses droits et de toutes ses protections.